Pierre Crespo

Brice et Gaëlle se joignent à nous pour vous présenter nos sincères condoléances Gisèle et José SARRET

Chers amis, J’apprends le décès de Pierre, votre mari, père et grand-père. Je m’associe pleinement à votre douleur et vous présente mes plus attentives et sincères condoléances. Bien à vous, en toute amitié. Bernard DUPONT

Christelle je viens d’apprendre par Martine le décès de ton grand père. Je suis de tout cœur avec toi. Très dur de perdre son grand-père, : une page qui se tourne de notre enfance. Je t embrasse affectueusement . Edwige

Chère Christelle, je vous renouvelle mes sincères condoléances..sachant qu’en période de fêtes, c’est encore plus cruel de perdre un être aimé alors qu’on est censé se réjouir et profiter .. Mes pensés de soutien sont avec vous et vos proches. Je vous embrase. Martine.

C'est avec beaucoup de tristesse que nous apprenons la mort d'un amis et compatriote pied noir et vous présentons nos très sincères condoléances. Jacques et Renée

Mon papi ... C’était dur te te voir aujourd’hui ... ton sourire m’a manqué, Il est désormais dans mon cœur et mes souvenirs , Comme quand nous partions tous a calpe passer l’été et que nous allions manger une « crème «  le soir sur le bord de mer ... Je garde en mémoire ces instants d’insouciance , de bonheur pur .. Je t’aime

Mon Cher Oncle Aujourd'hui, notre coeur pleure, dévasté, fracassé par la peine, tu as lutté jusqu'à ton dernier souffle, dans l'espoir de revenir à la maison comme avant! Pour ne pas laisser derrière toi, ta femme, tes enfants et tes petits-enfants que tu aimais tant. Le destin en a voulu autrement. Aujourd'hui, tu pars vers d'autres chemins, retrouver ta maman, ton papa, tes frères, ta soeur, les amis qui t'ont tant manqué. Tu étais un oncle sincère, gentil, avec un sens de la loyauté, de fidélité, de droiture et de bonté. Je me souviens de ta visite à Llansa, et cette joie qui t'accompagnait quand tu te laissais glisser dans l'eau pour ramener des oursins, le sac plein, assis tous ensemble sur cette petite plage entourée de rochers, fac à la mer, et bercés par le clapotis.. Ce paysage que tu aimais tant.. Nous avons dégusté ces oursins, un peu en cachette: c'était interdit! Mais Chut... Sacré Pied-Noir!! Ce paysage de la mer que tu aimais tant, avec ses oiseaux, ces mouettes qui tourbillonnent au dessus des vagues feront avec toi un bout de chemin, pour te laisser partir vers de nouveaux horizons. Tes enfants, petits enfants, neveux et nièces ne t'oublieront jamais.. Tu vas leur manquer, tu vas nous manquer! Au revoir tonton..

Tonton, tu nous as quittés précipitamment. Tu laisses ta petite soeur bien seule et, en partant tu lui as rappelée qu'après toi c'était son tour. Ainsi va la vie. Tu as quitté cette terre, sans doute parce que tu te sentais trop diminué pour continuer la route. Tata n'étant plus auprès de toi après tant d'années passées à tes côtés. Vous étiez les deux doigts d'une main, maman me l'a souvent dit. Vous étiez inséparables. Tu as sans doute décidé que la vie ne valait plus la peine d'être vécue. On ne peut pas t'en vouloir. Ta vie a été riche, né en Espagne, exilé en Algérie, rapatrié en France, tu as élu domicile à Canet. Prés de la mer méditerranée, cette mer à jamais aimée, dans laquelle tu as pêché tant de fois avec tata Odile à tes côtés. Tu passais souvent tes vacances en Espagne , à Calpe et nous nous y étions retrouvés, que de souvenirs. Pour maman tu étais son petit frère, combien aujourd'hui je suis contente de l'avoir conduite à un âge avancé pour que vous vous retrouviez. Aujourd'hui elle ne nous a pas accompagnés, mais elle sera avec nous par la pensée. Mon petit tonton je me rappelle ta générosité, je revois tes yeux rieurs, qu'ils puissent là haut retrouver leur éclat. "Azules o negros todos queridos todos bonitos - Abierto a qualquier immenso aurora Del otro lado de los sepulcos - Los ojos que cerramos vistan todavia" Bleus ou noir, tous aimés, tous beaux - Ouverts à quelque immense aurore De l'autre côté des tombeaux - Les yeux qu'on ferme voient encore" Repose en paix, mon petit tonton. Françoise

Mon tonton Pierrot, mon « Cachalot » comme on m’apprit à t’appeler. Ton corps va rejoindre la terre mais ton sang va retrouver notre cœur pour que nous te continuions en chacun de nous. Tu rejoins les anciens tout là-haut, à n’en pas douter dans une fiesta gargantuesque et sonore, dont les échos retentissants doivent nous enjoindre à faire de même, au-delà de la tristesse provoquée par le manque. Ainsi va la vie, celle qui advient et qui devient, vers cette fin inéluctable contre laquelle il vain de vouloir se barricader. Même si huit années se sont écoulées depuis ma dernière venue à Canet, ce sont bien la vie, le rire et les moments de folie que je garderai en mémoire. Bon gueuleton avec les anges, embrasse tous ceux qui nous sont chers là-haut! Ton petit neveu.

Tonton Pierrot, Voilà quelques mois que le devoir de mémoire pousse un peu toute la famille à se pencher sur les traces de nos aînés… Les souvenirs que je garde de toi me rappellent à mon enfance et à nos nombreuses cousinades à Canet dans la maison que tu as construite avec Tata Odile. Je chérirai ces souvenirs avec mes cousins et cousines toute ma vie. Le temps s’y arrêtait. L’espace de quelques semaines tous les printemps, 3 générations se mélangeaient sous ton regard de patriarche aux yeux rieurs. J’y voyais mes parents heureux, mes grands parents quand ils nous accompagnaient se remémoraient de belles anecdotes d’Espagne et d’Algérie que nous étions trop jeunes pour comprendre, et mes frères, mes cousins, cousines et moi, faisions les 400 coups… Merci d’avoir toujours été ce tonton fédérateur, chez qui nous étions toujours impatients d’aller… tu avais les yeux de ma mamie, ta soeur Fifine. Tu la retrouves aujourd’hui, et je suis sûr qu’elle a dû te réserver le plus bel accueil, avec ses nombreux petits plats, et son sourire contagieux. Je t’aime. Lionel